http://www.legorafi.fr/2013/01/22/amatrice-de-dreadlocks-sa-mere-lui-apprend-quelle-ne-sera-jamais-noire/L’adolescence est un passage douloureux pour certains. Pour Pauline, 16 ans et amatrice de dreadlocks, cela va prendre la forme d’une révélation. En effet, Karine, la mère de la jeune fille a décidé d’emmener cette dernière en balade. Une promenade en pleine nature durant laquelle Pauline devra découvrir et faire face à un secret sur elle-même : non, elle ne sera jamais noire. ReportageUne perte d’identitéLa mère et la fille marchent main dans la main le long de l’étang de Villeneuve-lès-Maguelone dans l’Hérault où elles habitent. Michel, le mari de Karine et beau-père de Pauline est resté à la maison. Il préfère « laisser les deux filles entre elles » comme il dit. Elles parlent entre elles rigolent, évoquent le lycée où est scolarisée l’adolescente. Avec espièglerie elles discutent ensuite d’Alexis, le petit copain de Pauline. Les deux promeneuses sont complices.Puis après un moment de flottement, vient cet instant autour duquel Karine a construit toute cette promenade. Elle s’adresse à sa fille : « Ecoute Pauline : tu ne seras jamais noire. Tu ne seras même jamais aussi cool qu’un homme ou une femme noire. Tu es blanche et ça craint. Il va falloir faire avec, assumer ça. » Et la mère bienveillante d’enchaîner : « Car plus qu’être soi-disant branchée grâce à des dreadlocks, ce qui compte Pauline, c’est que tu saches qui tu es vraiment. Et là en l’occurrence c’est d’une petite fille blanche pas très jolie dont je parle. »Après ce discours de vérité, la jeune fille encaisse l’information non sans embarras mais semble malgré tout l’intégrer avec calme. C’est un profond traumatisme identitaire qui vient de se dérouler à l’intérieur d’elle. Pour Pauline c’est probablement un long travail sur soi qui commence. Un travail sur l’image qu’elle a d’elle-même, peut-être via une thérapie. Ce chemin difficile, elle ne le fera pas seule comme lui explique sa mère qui tient à lui assurer son soutien : « Tu peux compter sur moi et ton père pour te rappeler à chaque fois que tu en auras besoin qui tu es, te rappeler qu’au grand jamais tu ne seras une rastafari jamaïcaine. »D’autres véritésAprès le choc de la nouvelle, Karine et sa fille rentrent à la maison. Le dîner du soir se déroule dans une légère tension puis Pauline part s’enfermer dans sa chambre comme d’habitude. Mais ce soir, le dernier album de Tryo ne se fait pas entendre à travers la porte de la jeune fille. Sa mère, elle, est partagée entre soulagement et inquiétude : « Je lui ai laissé une tondeuse et des ciseaux sur son lit. J’espère qu’elle comprendra… En tout cas je suis contente qu’elle ait accueilli cette nouvelle avec maturité. Si vraiment elle l’assimile sereinement, alors peut-être dans un futur proche, avec son père, nous pourrons lui parler du fait qu’elle n’était pas vraiment désirée. »
Amen Hotep
jeudi 24 janvier 2013
Ces leucodermes qui nous envient...
jeudi 17 janvier 2013
La Renaissance Kamit est en marche
La révolte gronde parmi notre saine jeunesse.
Django just inspired me to go shoot some white people—
Morgan State's Promo (@GivEmHellZel) January 05, 2013
After watching Django, all I wanna do is shoot white people.—
(@JordiBoi) January 04, 2013We need a modern dy django to kill some white people
#IsItWrongIf u wanna kill all white for 30min after you see Django Unchained
vendredi 28 octobre 2011
dimanche 23 octobre 2011
mercredi 5 octobre 2011
samedi 27 août 2011
Ces Kamits qui bâtirent la Grande-Bretagne
SourceAfricans in Britain 2000 years ago. The former British prime minister, Margaret Thatcher, declared some years ago that the English (or was it the British?) were all “homogenous Anglo-Saxons”. Really? As Africans in Britain celebrate Black History Month this month (October), we put Mrs Thatcher’s words to the test.
Many peoples from many parts of the world, not only Europe, have settled in what became known as “Britain” – for thousands of years. But while some might acknowledge Italian, or Spanish, or French ancestry, few will accept that their forefathers might have come from Africa and what used to be called Mesopotamia, and is now for reasons unknown, called the “Middle East”.
So who were the early Britons? The earliest Roman historians did not ignore the many who had settled on this island: for example, Tacitus wrote of the “dark complexion of the Silures or Black Celts and [their] unusually curly hair”. According to Herodotus, the ancestors of the Picts (in the north of the island) were a regiment of the African army of the Egyptian king, Sesostris II (1980-1935BC), who had attempted to conquer West Asia. The regiment had settled near Colchis and became known by that name. Colchis is near the Black Sea.
Some recent research proves from archaeological and linguistic analyses that the Picts hailed from Scythia, the area between the Caspian and Black Seas – that is, near Colchis. A major trade route passes through this area, mixing the peoples of the East and West and the South and North. It is not surprising therefore that some of the Pict carvings in Scotland depict the great goddess of the Ossetes (in the Caucasus region), who is believed to be the same as the Indian goddess Lakshmi and the Mesopotamian goddess Ishtar.
One panel of a sarcophagus in St Andrews (Scotland) illustrates the story of Gilgamesh, an epic known from Mesopotamia in the east to the western reaches of the Mediterranean. The elephants on many Pict carvings sometimes depict the live animals and sometimes the skin of the animal worn in order for the wearer to take on the characteristics of the animal. This Asian custom was also practised in North Africa during Roman times.
Pliny, another Roman historian, described Britons of the second century AD as having “Ethiopian complexions”. Did they acquire these dark skins from the Africans who came with the conquering Romans who first arrived in 55BC? The incorporation of Britain into the Roman Empire dates from 43AD by Emperor Claudius.
jeudi 19 mai 2011
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