samedi 27 août 2011

Ces Kamits qui bâtirent la Grande-Bretagne


Africans in Britain 2000 years ago. The former British prime minister, Margaret Thatcher, declared some years ago that the English (or was it the British?) were all “homogenous Anglo-Saxons”. Really? As Africans in Britain celebrate Black History Month this month (October), we put Mrs Thatcher’s words to the test.

 Many peoples from many parts of the world, not only Europe, have settled in what became known as “Britain” – for thousands of years. But while some might acknowledge Italian, or Spanish, or French ancestry, few will accept that their forefathers might have come from Africa and what used to be called Mesopotamia, and is now for reasons unknown, called the “Middle East”.
So who were the early Britons? The earliest Roman historians did not ignore the many who had settled on this island: for example, Tacitus wrote of the “dark complexion of the Silures or Black Celts and [their] unusually curly hair”. According to Herodotus, the ancestors of the Picts (in the north of the island) were a regiment of the African army of the Egyptian king, Sesostris II (1980-1935BC), who had attempted to conquer West Asia. The regiment had settled near Colchis and became known by that name. Colchis is near the Black Sea.
Some recent research proves from archaeological and linguistic analyses that the Picts hailed from Scythia, the area between the Caspian and Black Seas – that is, near Colchis. A major trade route passes through this area, mixing the peoples of the East and West and the South and North. It is not surprising therefore that some of the Pict carvings in Scotland depict the great goddess of the Ossetes (in the Caucasus region), who is believed to be the same as the Indian goddess Lakshmi and the Mesopotamian goddess Ishtar.
One panel of a sarcophagus in St Andrews (Scotland) illustrates the story of Gilgamesh, an epic known from Mesopotamia in the east to the western reaches of the Mediterranean. The elephants on many Pict carvings sometimes depict the live animals and sometimes the skin of the animal worn in order for the wearer to take on the characteristics of the animal. This Asian custom was also practised in North Africa during Roman times.
Pliny, another Roman historian, described Britons of the second century AD as having “Ethiopian complexions”. Did they acquire these dark skins from the Africans who came with the conquering Romans who first arrived in 55BC? The incorporation of Britain into the Roman Empire dates from 43AD by  Emperor Claudius.
Source

vendredi 13 mai 2011

A un leucoderme, et surtout à sa femme



Il se dégage de la douloureuse lecture de ce nauséabond article , par ce qu'il reflète de la mentalité viscéralement racialiste du leucoderme moyen tout en montrant fort bien la jalousie hargneuse dont elle procède, un curieux sentiment de malaise et de jubilation mêlés. Sachons cependant gré à ce jeune leucoderme d'avoir su exprimer avec une confuse clarté son complexe d'infériorité au fond bien légitime vis-à-vis du kamit qui, non content de lui avoir généreusement apporté les fruits de sa brillante civilisation (et on ne sait que trop pour quels résultats...), a l'odieuse outrecuidance de se trouver plaire davantage aux femmes que lui (et pour cause...). Il lui reste maintenant à l'assumer tout à fait et à comprendre que le kamit, après des siècles d'obscurantisme et d'esclavage, entend retrouver dans la société européenne qu'il a, plus que nul autre, contribué à construire, sa vraie place, celle du maître, du bâtisseur et... du séducteur. Puisse la MAAT l'éclairer.

Lui ayant répondu sur le mode scientifique, comme il se doit (cliquez pour agrandir):



je n'en cédai pas moins à l'envie d'une réponse plus "provocatrice", tant il est vrai que l'humour subtil et l'esprit frondeur du kamit sont ce qui le distinguera toujours de la masse pleurnicharde et larmoyante de ses anciens serfs leucodermes et de leur pusillanimité agressive d'esclaves mal libérés à qui l'on me permettra de penser qu'un bon coup de fouet ne ferait pas de mal de temps en temps. Un ancien proverbe négro-égyptien ne dit-il pas que les oreilles des serviteurs sont sur leur dos?

Puisqu'il faut s'en tenir ici au coup de gueule, que les quelques vers de mon cru que voici que j'ai cru bon de trousser sur mes propres amours leucodermiques (et Osiris sait qu'elles furent nombreuses...) lui servent de réponse bien sentie. Le Nègre, monsieur le raciste "blanc", ne vous emmerde pas: c'est vous qui l'emmerdez.




Dans l'obscure moiteur de la boîte techno
Je t'aperçois soudain hautaine et byzantine
Alors que retentit de mon cœur la sono
Je passe à mes cheveux un peu de brillantine

Te tournent tout autour des jeunots des minots
Des gamins enfiévrés, des morveux de cantine
Mon regard se durcit, je deviens parano
Je lis l'empressement sur leur mine enfantine

Je ne me presse pas: va piano, va sano
Te dévorant des yeux comme une feuillantine
J'imagine déjà ma peau cappuccino
Se presser sur ta chair d'albâtre adamantine

Je te ferai tomber tout comme un domino
Tu as beau m'ignorer, perfide serpentine
Rien qu'en claquant des doigts, deux minutes chrono
Je fais fondre aussitôt ta rigueur tridentine

Je vois avec froideur, lubrique mécano
Sous ta robe bouger tes courbes florentines
Me viennent à l'esprit des visions de porno
Je te défleurirai, petite couventine

Je passerai mes mains sous ton doux kimono
T'épluchant peu à peu comme une clémentine
Et je recouvrirai de stupre et de guano
Ton bourgeon odorant, ta rose carmantine

Ton obscure clarté resplendit a giorno
Tu illumines tout, ô chryséléphantine
Moi j'attends, insensible au rythme latino
Tapi dans la noirceur de l'ombre ponantine




Ankh, Oudja, Seneb,

Joseph M'BONGO

dimanche 13 mars 2011

Strasbourg médiéval, ville africaine



Un de nos lecteurs (Bruno W., du Bas-Rhin) nous fait parvenir cet étonnant et émouvant témoignage d'une présence africaine dans l'Alsace du XIVème siècle, province du Saint Empire Romain Germanique, comme nous croyons utile de le rappeler. Qu'il en soit ici remercié.

Nous transcrivons ici le texte, écrit sur la façade d'une vieille maison alsacienne, siège d'une brasserie originairement appelée "Zum Mörlin", et aujourd'hui restaurant:

"La maison était depuis le XIVème siècle siège et lieu de la réunion de la Corporation de la Mauresse. La maison s'appelait originellement "Zum Mörlin". Mörlin: négresse ou mauresse pour la raison qu'une des servantes était éthiopienne. Depuis la Révolution, Café de la Mauresse. Le premier étage était au XVIIIème siècle salle de spectacle. De 1761 à 1775, école municipale d'où sortirent Jean-Baptiste Kléber ... (texte manquant ensuite)"

Abstraction faite du préjugé leucodermique qui relègue la "mauresse" en question à une origine étrangère (une kamite du Moyen-Âge européen est forcément une "Éthiopienne" venue de la lointaine Afrique) et à une condition sociale subalterne et dégradante (une kamite du Moyen-Âge européen est forcément une "servante" ou une "esclave" - quid alors des rois africains et chevaliers kamits mis en évidence par nos recherches?), nous trouvons là des indications tout à fait précieuses sur une présence africaine dans l'Allemagne médiévale, conservée ici dans le toponyme et la tradition. Si, au XVIIIème siècle encore, on parle d'un "Café de la Mauresse", nous pouvons juger de l'importance, tant démographique, que symbolique de cette présence.

Nos recherches sont en cours pour déterminer ce que pouvait être cette "Corporation de la Mauresse". Une association "communautaire" de kémites allemands, en une époque où les leucodermes semblaient devenus suffisamment nombreux pour que l'on pût craindre à une disparition de la population négro-allemande? Une confrérie de chevaliers africains? Une société secrète, qui, survivant à la morsure des siècles, aurait pu, rêvons un peu, compter parmi ses membres Jean-Baptiste Kléber, celui-là même qui guida les troupes napoléoniennes en Égypte, et qui fit son cours élémentaire dans cette maison? Les hypothèses sont ouvertes, et ici propices à la rêverie.

Merci encore, Bruno.

Ankh, Oudja, Seneb.

Joseph M'BONGO

lundi 21 février 2011

L'oeuvre évangélisatrice de la Kémite Marie-Madeleine se poursuit!


"En mission chez les missionnaires ! Renversement du cours de l'histoire, les prêtres africains sauvegardent aujourd'hui de nombreuses paroisses françaises. Depuis 1960, la France a perdu plus de la moitié de son personnel clérical vieillissant (lire ci-contre). Les Pyrénées-Orientales n'échappent pas à cette pénurie des soutanes et à cette main tendue africaine. Sur soixante-neuf prêtres en Roussillon, douze viennent d'Afrique."

Source

samedi 15 janvier 2011

Quand les racistes leucodermes croient rire de nous...




Source: le tristement célèbre site d'extrême-droite Fdesouche.

Que ces minables petits racistes, tenants d'un monde leucocentré bientôt révolu, rient d'un rire à l'image de leur peau, jaune et crayeux, cela ne fait que nous conforter dans notre combat. Comme disait l'Ancêtre ANTA DIOP, "Le Mensonge peut courir un an, la vérité le rattrape en un jour".

Ankh, Oudja, Seneb.

Joseph M'BONGO